audio psotomon (.wav, 435k)


Mrs. Bernard: When you’re being brought up you don’t ask questions that you would have asked today. So I asked him [Stewart Bernard’s father], and he said, well, what tripped me against hunting was when my father, when his father, which is his grandfather, hunted, they would take the skins back and at the time they lived in a shack. And they would have . . . he would hang the skins so that it would dry out. He said . . . he said the smell was so bad, you know, he said that would be one of the reasons that he didn’t do the hunting. He fished, and that was no problem because you know you can always wash the smell of fish away. But when you have a bear, or have a deer, the smell, you know, and of course they used everything. They used, he’d have to scrape it and he’d get sick.

Mme Bernard : Quand on est petit, on ne pose pas les questions qu’on poserait adulte. Alors je lui ai demandé [au père de Stewart Bernard], et il a dit : « Eh bien moi, ce qui m’a fait ne pas aimer la chasse, c’est depuis que mon père et son père (mon grand-père) partaient à la chasse : ils rapportaient des peaux, et à cette époque-là, ils habitaient dans une cabane. Et puis… mon père accrochait les peaux pour les faire sécher. » Il disait… il disait que ça sentait tellement mauvais, vous savez, que c’était une des raisons pour lesquelles il n’allait pas à la chasse. Il allait à la pêche, et ça, ça ne posait pas de problème, car il est toujours possible de se laver pour se débarrasser de l’odeur de poisson. Mais quand on a affaire à un ours ou à un cerf, il y a l’odeur… et évidemment, ils utilisaient toutes les parties de l’animal. C'est-à-dire qu’il fallait le dépiauter et ça le rendait malade.